En espérant que cela vous donne des idées !

La saison de Noël est officiellement commencée ici. Depuis une semaine j'écoute chaque jour : A Charlie Brown Christmas.
À demain pour DWTL !
La salsa (ma recette maison) et les tostitos (croustilles de tortillas) sont vraiment populaires ici. En fait, si je veux faire plaisir à monchéri je n’ai qu’à faire des nachos ! Il y a quelque temps je me suis dis que ça devait être faisable des tostitos maison. J’ai fait des recherche sur Google, mais n’ai vraiment rien trouvé, en français, en anglais et en espagnol. Je dois être la seule folle qui pense à vouloir cuisiner des tostitos maison. Bref, j’en suis venu à concocter ma propre recette, qui est en fait archi simple et qui goûte à s’y m’éprendre à ceux du marché. La partie la plus difficile est de trouver de vraie tortillas de maïs. Ce qui n’est pas simple s’il n’y a pas de marché latino près de chez vous. Enfin, si vous avez cette chance il ne vous manque que le sel. En passant, les tortillas se congèlent très bien, alors on peu faire des provisions. Un jour je serai une vraie pro et pourrai enfin réussir à les faire maison !

- 1/4 de tasse de beurre
Pour l’histoire d’amour avec mon chéri, j’y reviendrai éventuellement.
Je suis donc partie au Cégep où j’y ai étudié deux ans en arts visuel. Pourquoi ? Parce qu’en secondaire 5 je rêvais de devenir une grande réalisatrice de film et aller aux Oscars … Je mets tout ça sur le compte de l’adolescence…
Juste avant d’entrer au Cégep ma vie a été transformée et j’ai vraiment eu le désir de poursuivre mes études en théologie pour devenir missionnaire. Tout était prévue je partais étudier 4 ans en Ontario dans une université biblique. Lorsque j’ai rencontré mon pasteur pour qu’il signe mes papiers de recommandations, il m’a parlé de la vision de Sembeq (un séminaire théologique non-traditionnel), j’ai prié et je suis finalement restée au Cégep.
Comme je ne voulais plus être réalisatrice de film je devais me trouver une autre carrière fulgurante. L’enseignement c’est rapidement imposé dans ma pensé, parce que j’aime beaucoup communiquer. Je me suis donc inscrite en enseignement de l’histoire et aussi de l’espagnol, comme beaucoup d’autre s élèves qui avaient des bien meilleures notes que moi. Merci Seigneur c’est au Cégep que j'ai eu les moins bonnes notes de mon historique scolaire et c’était une bonne chose. Ce n’était pas ma place et l’université à considérer que non également.
Je me suis donc retrouvée à Montréal à faire un certificat en espagnol en attendant de voir. Du même coup j’ai commencé mes études à Sembeq. J’ai pris 8 ans pour faire mon certificat et je vais probablement prendre plus de 20 ans pour faire mon bacc. Je ne regrette cependant pas du tout de ne pas avoir été le faire en 4 ans en Ontario. Ma formation est vraiment plus enrichie en se côtoyant avec mon service dans l’église. Et comme je ne suis pas encore partie en mission à nulle part, il n’y a pas de presse.
Après mon certificat en espagnol, je me suis inscrite et ai été acceptée en enseignement des arts visuel. Sérieusement, je loue le Seigneur parce que c’était vraiment ma place, bien plus qu’en histoire. J’ai aimé mes études malgré tout le stress des fins de session. Pourquoi je ne travaille plus ?... c’est une autre histoire. Mais l’important c’est que j’ai vu Dieu me diriger pour que je sois dans la ville et dans le domaine qui me convenait vraiment ! Gloire à Dieu !
Voici les versets inscrits sur le tableau de ma cuisine présentement. (Oui j'ai oublié le "s" a chemins)
Je suis dans une phase où j'essaie de rendre notre alimentation encore plus santé. Surtout parce que plus je mange santé, plus manger non-santé me fait sentir mal. Maintenant quand je mange du pain blanc, des gaufres et des crêpes, je me sens toute croche après (ce n'est pas une intolérance au gluten je me suis renseignée, enfin je ne pense pas). Même si je mange de la farine blanche presque tous les jours dans différents desserts, dans le pain et les gaufres c'est trop pour mon organisme habitué au pain 14 céréales.
Source de la recette : Teri's Kitchen
Quand j'ai vu le tutoriel de "quilted vest" de Me Sew Crazy au printemps dernier. J'ai trouvé cela génial et je me suis dis que j'en ferais pour mes deux enfants ! J'ai appris de mon expérience de l'année dernière et je ne voulais pas utiliser du biais comme elle l'a fait. Sauf que je n'ai pas appris de mon expérience d'il y a trois ans. Coudre de la doublure, grrrr ! Enfin, il y a des as de la couture qui font ça comme des championnes, je n'en fais pas partie. J'ai failli abandonner bien des fois, mais je l'ai quand même terminé. Bon, de loin ce n'est pas trop pire, mais il ne faut pas trop s'approcher. Pas besoin de vous dire que ma fille n'en aura pas une ! Conclusion, si vous voulez tenter votre chance, mieux vaux suivre les indications exactes de Me Sew Crazy.
Pour la grandeur, je l'ai fait vraiment grande, tant qu'à travailler autant, je veux qu'il la porte ! J'ai utilisé le tissu de vieux pantalons que je m'étais faite adolescente et une vieille chemise (pour l'intérieur). Pour la doublure j'ai pris un vieux chandail en laine polaire. Bref, il n'y a que les boutons pressions que j'ai achetés. Je tenais à lui en mettre pour que ça fasse un peu plus semblable aux vraies vestes. Ça aussi c'était toute une expérience, qui inclue un marteau. Enfin, je suis contente d'en avoir posé moi-même. Même si les boutons ne se ferment pas aussi bien que des vrais.
Mon chevalier/cowboy de fiston est dans l'immense besoin d'une monture depuis longtemps déjà. Elle devait être au rendez-vous pour son anniversaire de juillet, mais avec nos nombreuses péripéties, ce n'est que maintenant que j'ai eu le temps de la coudre. C'est donc le premier cadeau de Noël maison à mon actif pour cette année. Nous avons déjà acheté les cadeaux pour nos enfants, mais je compte bien en fabriquer aussi quelques autres.
Donc recouvert d'un manchon de tissu le tout est tout mou !
Après Noël, cette belle monture ira donc rejoindre l'attirail de notre chevalier dans son écurie de coin de mur.


Il y a dix ans j'arrivais à Montréal avec bien des choses, mais aucun meuble et pas d'argent pour en acheter. Ma coloc avait l’essentiel pour le reste de l’appartement, mais j'ai dormi toute ma première année d'université sur un hamac. C’était un choix totalement réfléchi.
Je suis une extra-terrestre à mes heures et je fais des choses souvent totalement incompréhensibles pour les terriens. Malgré tout, après 1 an de ce régime, j'ai investi toutes mes économies dans un futon. Qui fut ensuite mon premier canapé lorsque je me suis mariée. J'étais super contente de l'achat de mon premier meuble. Mais, comme j'ai choisi le moins cher que j'ai pu trouver, je n'ai jamais vraiment aimé le recouvrement du futon. Maintenant que nous avons un vrai canapé, j'aurais bien pu m'en débarrasser, mais c'est encore très pratique lorsque nous avons des invités pour dormir. N'empêche qu'à chaque fois que je le voyais, j'étais un
peu déprimée à sa vue.
Jusqu'à ce que je réalise (je ne sais plus du tout comment l’idée m’est venu) que je pouvais faire contenir le matelas dans une housse de couette de lit simple (même quand il est ouvert) !!! Ça a vraiment été une trouvaille merveilleuse ! Ça ne demande aucune couture, c'est beaucoup moins cher qu'un autre meuble (surtout que j'ai acheté la housse usagée) et en plus ça se lave beaucoup plus facilement. Ce qui est très utile quand on a des enfants qui passent leur temps à le recouvrir de traces de craie, et aussi quand on est allergique à la poussière ! J'ai donc un futon tendance housse Ikea qui me fait sourire au lieu de me déprimer. C'est un petit changement facile et économique.